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« Electric Dreams » est un film américano-britannique de 1984 réalisé par Steve Barron. Il sort en salle en France le 17 avril 1985.

L’histoire:
Miles, jeune architecte timide de San Francisco, se procure un micro-ordinateur afin de poursuivre ses recherches sur un modèle de brique capable de résister aux tremblements de terre.
Dès lors, Miles se consacre entièrement à son ordinateur.
Malgré cela, il remarque Madeleine, sa jeune et jolie voisine, violoncelliste de profession, qui est en train d’emménager.
Un soir, alors qu’il est parvenu à connecter la mémoire centrale du système de sa société à son ordinateur, celui-ci s’échauffe.
Pour le refroidir, Miles n’a d’autre ressource que de verser dessus une bouteille de Champagne… ce qui perturbe sérieusement les circuits intégrés de la machine.
Un jour, Madeleine entend venir de l’appartement voisin une douce mélodie. Persuadée que c’est Miles qui en est l’auteur, elle ne lui cache pas son admiration. Il succombe très vite à son charme sans toutefois très bien comprendre.
Enfin, il perce le mystère : son ordinateur fonctionne de façon indépendante, enregistre des sons, compose de la musique et parle…

Distribution:
Lenny Von Dohlen : Miles Harding
Virginia Madsen : Madeline Robistat
Bud Cort : l’ordinateur
Maxwell Caulfield : Bill
Don Fellows : M. Riley
Alan Polonsky, Mary Doran, Wendy Miller,…

L’histoire relève à la fois de la science-fiction et de la comédie romantique, puisqu’il présente un triangle amoureux entre un homme, une femme et un ordinateur domestique.
Film musical sans être à proprement parler une comédie musicale, transposition moderne du Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand dans l’univers de la domotique à ses tout débuts, l’on ressent fortement dans la patte de Steve Barron celle d’un des plus grands réalisateurs de vidéo clip des années 1980, dont la bande son inonda pendant longtemps les charts de par le monde avec souvent un plus grand succès que le film lui-même.
Vingt ans avant la généralisation d’internet et des réseaux à haut débit, apparaît la notion de connectivité des ordinateurs à travers le monde.
Dans le générique final, le film est dédié à la mémoire de l’UNIVAC I, le premier ordinateur commercial réalisé aux États-Unis.

La bande originale:

Plusieurs musiciens à tendance New Age des années 1980 ont contribué à la bande originale du film.
La chanson « Together in Electric Dreams » de Philip Oakey et Giorgio Moroder est sortie en single et est devenue un hit international en 1984.
La BO comprend également deux nouveaux enregistrements du groupe Culture Club: « The Dream » et « Love Is Love » ainsi que des chansons interprétées par Helen Terry (« Now You’re Mine ») et écrites par Boy George et Roy Hay.

Le film en VF:

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